Nous croyons en un avenir biologique, sain et durable, et ce, de mère en fille depuis 1995.


En 1987, un diplôme en horticulture du Jardin Botanique de Montréal en main, Marjolaine Anctil acquiert un terrain de cinq acres dans l’ancien village minier d’Albert-Mines. Elle a le projet de le transformer en un havre de verdure. Quelques années et deux enfants plus tard, en 1995, la serre est construite et naît alors La Marjolaine. Cette entreprise voit le jour à une époque où l’on commence à parler de la possibilité de cultiver la terre sans ajouter des engrais chimiques, des pesticides et autres herbicides néfastes à long terme pour l’environnement.

Plus de 25 ans plus tard, Marjolaine et sa fille aînée Marie continuent de produire des produits horticoles avec une créativité renouvelée. Dans un monde qui se conscientise tranquillement, elles n’ont jamais cessé de rêver à un avenir toujours plus vert.

 
Marie et Jeanne dans le potager, vers 1996

Marie et Jeanne dans le potager, vers 1996

La serre à ses débuts, vers 1996

La serre à ses débuts, vers 1996


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Marjolaine Anctil et Jean-Pierre Lemonnier

les FONDATeurs
 

‘‘C’est l’amour de l’agriculture et des plantes qui nous a fait nous rencontrer en Europe il y a presque 40 ans maintenant. De retour au Québec, notre souhait le plus cher était de fonder une famille et de la nourrir tout en respectant notre planète. Par la suite, connaissant ce bonheur, nous avons voulu le partager en fondant une entreprise horticole qui bénéficierait aux gens de notre communauté qui partagent les mêmes valeurs que nous.’’

 
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Marie Lemonnier

La relève
 

“Historienne de formation et spécialiste de l’histoire des sciences de la nature, je suis amoureuse de tout ce qui pousse et qui vit. Cet amour, je le tiens en grande partie de l’exemple de ma mère et du petit coin de terreau dans lequel j’ai grandi. Je m’entends très bien avec les humains, mais j’ai une affinité particulière pour les fleurs. J’ai 120 000 nouvelles idées à la minute, un œil pour créer de la beauté et la volonté de combiner les deux. L’hiver, je rêve d’être dans mon jardin.”

 
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Mathieu Langlois

Homme à presque-tout-faire
 

“En tant que kinésiologue, j’ai toujours été fasciné par la vie et son développement. Cet intérêt m'a amené à emmagasiner des connaissances importantes dans l'étude du corps humain mais aussi dans d'autres domaines liés à l’étude de la nature tel l’ornithologie, l’herpétologie, l’entomologie, la botanique, l’environnement et la météorologie. J’ai de solides compétences manuelles et une bonne forme physique, ce qui me rend utile tant dans les champs que dans l'amélioration des infrastructures de la ferme elle-même.”

 
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Roxy

Contrôle des prédateurs herbivores

‘‘En plus d’être la meilleure amie de mes maîtres-cultivateurs, je suis aussi très importante car ma présence empêche les cerfs de virginie et marmottes de dévorer ce qui pousse au potager. Ne le dites à personne, mais il m’arrive aussi le grignoter la laitue en cachette. J’aime vraiment la laitue.

 
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Igor

Contrôle des rongeurs

‘‘Mon rôle principal est d’être un confort soyeux pour fermiers fatigués, ce que je fais très bien. Aussi, quand je patrouille la serre, les mulots n’osent plus venir manger les graines fraichement semées, ce qui rend un fier service à ma famille.

Moi aussi je suis fier. De moi.